Vingt-quatre heures de la vie d’une femme – Stefan Zweig
Résumé éditorial : Scandale dans une pension de famille « comme il faut », sur la Côte d’Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d’un des clients, s’est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n’avait passé là que la journée…
Seul le narrateur tente de comprendre cette « créature sans moralité », avec l’aide inattendue d’une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez la fugitive.
Avis personnel : J’ai été soufflée par ce court roman (ou nouvelle, comme on veut). Littéralement. J’avais des aprioris sur Zweig : j’avais déjà lu (il y a longtemps) Le joueur d’échec, qui est son roman le plus connu, et pas accroché. Mais bon… Vingt-quatre heures de la vie d’une femme traînait dans ma PAL depuis un bon moment et j’ai entendu récemment des avis très positifs dessus, donc je m’y suis plongée.